Mesurer la teneur en vide et les autres fabulations sur le réchauffement planétaire
Les amis,
Cher Dr. Ron, j'ai besoin de mesurer la teneur en vide d'un alliage. Existe-t-il un moyen simple de le faire ?
Après avoir un peu réfléchi, j'ai pensé que les densités des matériaux vidés et non vidés détenaient probablement la réponse. J'en ai tiré le résultat ci-dessous. En supposant que nous connaissons la densité du matériau non vidé, nous pouvons mesurer la densité du matériau vidé à l'aide de la technique de l'or humidifié, présentée dans des messages récents, si les vides ne sont pas connectés (cellule fermée). Si les vides sont connectés (cellule ouverte), vous pouvez donner à la mousse la forme d'un parallélépipède rectangulaire et déterminer la densité de la mousse comme étant la masse divisée par le volume.
Par exemple, disons que vous avez une mousse d'aluminium en cellule fermée. Nous utilisons la technique de l'or humidifié pour mesurer sa densité à 1,5g/cc. La densité de l'Al solide est de 2,7g/cc.
La fraction de vide du volume est donc :
Malheureusement, cette technique n'a pas pu être utilisée pour déterminer la teneur en vide dans des joints de brasage ou dans les connexions de coussinets thermiques BTC (par ex. QFN) (qui sont si facilement réduits en utilisant des préformes de brasage.)
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Les fabulations sur le réchauffement planétaire : Mon message récent sur le réchauffement planétaire a généré de nombreux commentaires. J'indiquerai d'autres raisons pour lesquelles je suis sceptiques à la fin de messages comme celui qui précède.
Il est important d'indiquer la différence entre un sceptique au sujet du réchauffement climatique (moi) et une personne qui nie le réchauffement climatique. En tant que sceptique, je ne suis pas convaincu que les tendances au réchauffement soient alarmantes ou inhabituelles, surtout parce que l'atmosphère ne s'est pas réchauffée depuis dix ans. Par ailleurs, je ne suis pas convaincu que le principal facteur du réchauffement à la fin des années 90 puisse être attribué uniquement à des activités humaines. Enfin, je ne suis pas convaincu que même avec des mesures draconiennes, nous pourrions provoquer un changement important.
Dans ce message, j'aimerais partager des données au sujet de la quantité de dioxyde de carbone qui est produite et relâchée dans l'atmosphère. Plus spécifiquement, quel pourcentage de dioxyde de carbone chaque année provient d'activités humaines. Sera-t-il de 30%, 40% ou 50% ? La réponse est 3%. Les 97% restants de dioxyde de carbone générés sur terre chaque année sont généras par des processus naturels dans les océans et sur terre. Voir l'image ci-dessous. L'argument du réchauffement climatique est que même si les activités humaines ne représentent que 3%, cette quantité compense l'équilibre délicat qu'offre la nature. Travailler avec des données et le modéliser en permanence, je trouve que cet argument est insuffisant. La collecte de données précises et l'élaboration d'un modèle précis à partir de ces données sont difficiles. En tirer des conclusions irréfutables (il est certain que le réchauffement climatique est causé par les hommes) l'est encore plus. Freeman Dyson, sans doute un des physiciens les lus accomplis dans ce domaine, à un avis similaire :
Les modèles résolvent les équations de la dynamique des fluides et font un très bon travail de description des mouvements des fluides de l'atmosphère et des océans. Ils ne fonctionnent pas bien pour décrire les nuages, la poussière, la chimie et la biologie des champs, des fermes et des forêts. Ils ne décrivent pas du tout le monde réel dans lequel nous vivons...
Il est aussi intéressant de noter qu'au fil de l'histoire, la température de la terre a déterminé la teneur en dioxyde de carbone dans l'atmosphère, et non l'inverse.
Au plaisir,
Dr. Ron
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