Le cycle thermique et la fiabilité en cas de choc par chute du brasage sans plomb semblent bons
Dimanche 31 octobre 2010 par le Dr. Ron Lasky
Les amis,
J’étais au SMTAI (Surface Mount Technology Association International) du 24 au 27 septembre 2010. Comme je l’ai dit, j’ai dirigé une séance sur les alliages alternatifs de 14h00 à 15h30 le mardi 26.
J’étais au SMTAI (Surface Mount Technology Association International) du 24 au 27 septembre 2010. Comme je l’ai dit, j’ai dirigé une séance sur les alliages alternatifs de 14h00 à 15h30 le mardi 26.
Lors de cette séance, Greg Henshall a présenté un document sur le Projet métallurgique de la sphère BGA faible en argent. Ce document était une collaboration entre six sociétés.En plus, Richard Coyle a présenté un aperçu du travail des trois sociétés appelé L’effet de la teneur en argent sur la fiabilité du joint de brasage d’un ensemble PGBA sans plomb.Ces deux projets ont évalué la fiabilité du cycle thermique sans plomb comme une fonction de la teneur en argent et ont comparé les résultats avec la fiabilité de l’alliage étain-plomb.
Les deux documents ont conclu qu’en ce qui concernait la fiabilité du cycle thermique SnPb<SAC105<SAC305< SAC405. Le document de Coyle l’a résumé le mieux.
Chacun des alliages SAC a surpassé l’alliage eutectique SnPb lors de chaque test, y compris le test de temps de pause long de 60 minutes.Cela a tendance à minimiser l'argument que SAC est moins fiable que le SnPb.(Voir les chiffres de Coyle.les courbes de données à droites sont plus fiables.)
Le document de Henshall a aussi montré que l’ajout de dopants, pour améliorer la résistance aux chocs, dans le SAC105, ne réduisait pas la durée de vie thermique.
Le document de Henshall a aussi montré que l’ajout de dopants, pour améliorer la résistance aux chocs, dans le SAC105, ne réduisait pas la durée de vie thermique.
Donc, il semble, qu’à ce moment-là, d’un point de vue du cycle thermique et du choc par chute, il ressemble de plus en plus à des brasages à base de SAC et surpasse les brasages étain-plomb dans ces deux domaines de fiabilité.
A la fin de la séance, un grincheux avéré du sans plomb se présenta.Nous étions en désaccord jovial sur plusieurs blogs, etc. par le passé sur des questions et le statut du sans plomb mais je ne l’avais jamais rencontré en personne. Je dois dire que cette personne est un collègue diplômé, un ancien dirigeant technique dans plusieurs sociétés technologiques influentes et il possède une licence PE. Je lui ai demandé ce qu’il pensait maintenant de la fiabilité sans plomb après avoir entendu les discussions. Il prétendit qu'il était un peu moins enclin à penser que la fiabilité sans plomb était un désastre. Il refuse encore d'acheter des produits sans plomb. Il achète des unités anciennes (d'avant 2006) sur eBay.
J’ai dit que plus de 2 billions de dollars d’électronique avait été vendu dans ce domaine depuis 2006 sans aucun problème de fiabilité inhabituel. J’ai ensuite poursuivi en expliquant qu’un produit respectant les normes RoHS a plus de chance d’échouer du fait de problèmes sans lien avec les normes RoHS. Il n’a pas manifesté son désaccord. Alors je lui ai demandé pourquoi il n’utiliserait pas une électronique respectant les normes RoHS. Sa réponse fut : « Je n’ai simplement pas confiance »
Au plaisir,
Dr. Ron
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