Statut de la fiabilité du brasage sans plomb dans les tests de cycle thermique
Mardi 1er février 2011 par le Dr. Ron Lasky [voir biographie]
Les amis,
En octobre, j'ai publié des commentaires au sujet de la fiabilité sans plomb. Dans cet article, j’ai mentionné que j’avais dirigé une séance au SMTAI sur les « alliages alternatifs ».Lors de cette séance, Greg Henshall a présenté un document sur le Projet de métallurgie de la sphère BGA à faible teneur en argent. Ce document était un effort collaboratif entre six sociétés. De plus, Richard Coyle a présenté un aperçu du travail de trois sociétés intitulé « L’effet de l’argent ». Le contenu de la fiabilité de soudure d’un ensemble PBGA sans plomb ». Ces deux projets ont évalué la fiabilité du cycle thermique sans plomb comme une fonction de la teneur en argent et ont comparé les résultats avec la fiabilité de l’alliage étain-plomb.
En octobre, j'ai publié des commentaires au sujet de la fiabilité sans plomb. Dans cet article, j’ai mentionné que j’avais dirigé une séance au SMTAI sur les « alliages alternatifs ».Lors de cette séance, Greg Henshall a présenté un document sur le Projet de métallurgie de la sphère BGA à faible teneur en argent. Ce document était un effort collaboratif entre six sociétés. De plus, Richard Coyle a présenté un aperçu du travail de trois sociétés intitulé « L’effet de l’argent ». Le contenu de la fiabilité de soudure d’un ensemble PBGA sans plomb ». Ces deux projets ont évalué la fiabilité du cycle thermique sans plomb comme une fonction de la teneur en argent et ont comparé les résultats avec la fiabilité de l’alliage étain-plomb.
Les deux documents ont conclu que, dans la mesure où la fiabilité du cycle thermique de 0oC à 100 oC était concernée dans leurs expériences, SnPb < SAC105 < SAC305 < SAC405
La présentation de Coyle a encore mieux résumé cela :
« Chacun des alliages SAC a surpassé l’alliage eutectique SnPb lors de chaque test, y compris le test de temps de pause long de 60 minutes. Cela a tendance à minimiser l'argument que SAC est moins fiable que le SnPb. »
En clair, il s’agissait de deux documents par deux groupes différents qui en sont arrivés à la même conclusion. Il serait probablement tiré par les cheveux que de dire que les conclusions de chaque groupe étaient « presque uniques ».
Denny Fritz a répondu au message de ce blog de la façon suivante :
« Personne à ma connaissance ne contredira votre classement de SAC mieux que le brasage SnPb utilisant un cycle de température commercial que Henshall utilise, de 0°C à 100°C. Mais, l’électronique dans un environnement difficile doit pouvoir fonctionner à -40°C ou à -55°C et doit utiliser une température maximale de 125°C. C’EST LORS DE CE TEST DE CYCLE THERMIQUE LARGE QUE le SnPb a surpassé les brasages SAC. »
Le point de vue de Denny est bien accepté. Je pense que l’on peut dire que les alliages SAC ont fait preuve d’une fiabilité acceptable dans des environnements commerciaux non difficiles (par ex. les téléphones mobiles, les PC, les produits électroniques de grande consommation, etc.) Cependant, on ne peut pas dire qu’une fiabilité acceptable pour le SAC ait été établi pour les environnements militaires (hors norme RoHS) et difficiles (par ex. les moteurs de voitures).
Il y a peu de temps, Werner Engelmaier a écrit un article à ce sujet (Global SMT Vol 11, No. 1, Janv. 2011, pp 38-40.), dans lequel il disait, entre autres :
« Bien sûr, le Dr. Ron choisit des données qui sont en accord avec l’avis qu’il a depuis le lancement de l’interdiction du plomb dans le cadre des normes RoHS dans un complot utilisant un axe des x élargi mettant un accent excessif sur les différences et encourageant un classement de fiabilité de soudure de SnPb < SAC105 < SAC305 < SAC405. »
Aïe ! Mes raisons n’étaient pas si néfastes, j’ai présidé une séance et je voulais partager les conclusions.
Cependant, Werner marque des points dans cet article, des données qui ne sont pas d’accord avec ce classement de fiabilité existent et il suggère des façons d’effectuer des tests de fiabilité afin que des comparaisons puissent être faites entre les ensembles de données.
En lisant certains de ses autres articles, j’ai été ravi d’apprendre que nous étions d’accord sur l’état de la fiabilité sans plomb dans le test du cycle thermique. Voici une de ses déclarations en 2008 (Global SMT, Vol 8., No. 8, Aug 2008 pp 46-48.) :
« Cela fait 2 ans depuis l’infâme interdiction des brasages au plomb dans le cadre de la norme RoHS. Qu’avons-nous appris ? Pour les soudures, aucune énorme différence de fiabilité n’est apparente. Les bases de données des brasages sans plomb ont été alimentées, les brasages sans plomb préférés peuvent se décaler et aucun modèle de fiabilité n’existe pour le moment. Néanmoins, des progrès ont été faits. »
Au plaisir,
Dr. Ron
Translation powered by Avalon Professional Translation
Connect with Indium.
Read our latest posts!